Je suis pas spécialement pessimiste, et tout ce qu’écrit Nietzsche me parait souvent aussi abscon et sybillin que les mots abscon et sybillin, mais force est de constater que l’Éternel retour m’aspire avec la puissance d’un fleuve dans lequel je peux tout au plus laisser tremper ma main de temps en temps.
Dos au passé.
Rien.
Ne me fait penser à toi.